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conference Bruno Sainjon - ONERA

20 février 2018
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Après avoir accueilli Didier Kayat, alors directeur de la stratégie de Daher, maintenant son DG, Michel Dechelotte alors Executive VP Finance de Messier-Dowty, Raymond Rosso Coordinateur interministériel du programme Galileo au sens du Ministère des transports, etc… cela a été un plaisir pour le groupe Aéronautique et Espace de reprendre ses activités en accueillant, en collaboration avec l’Ecole, Bruno Sainjon, Président de l’ONERA.

Une organisation allégée, une large diffusion interne et externe ont contribué à faire de cet évènement un nouveau succès et le Groupe, l’Ecole et l’ONERA ont noué des contacts et s’informeront de leurs évènements respectifs dans les domaines d’intérêt commun.

Félicitations à Daniel Ciprian Mincu de n’avoir pas hésité à passer la porte du bureau de son Président à l’ONERA pour lui demander de donner une conférence à l’ESCP. La réponse du président a été immédiate, qu’ils soient remerciés tous les deux.

Devant un auditoire d’étudiants à l’ESCP et de financiers, Bruno Sainjon n’a pas hésité à orienter ses présentations sur l’analyse des défis financiers auxquels l’ONERA, un EPIC directement rattaché au ministère de la défense, est confronté au quotidien, quand les budgets militaires se rétractent et que les -rares- clients qui permettraient d’équilibrer les comptes, ou de passer à la dimension supérieure, sont des clients étrangers, pour lesquels l’ONERA n’a vraiment pas vocation à travailler !

Il s’agit là d’ailleurs d’une véritable question de gouvernance qui aurait intéressé nos Alumni du groupe Gouvernance et qui pourra fertiliser ses réflexions.

Bruno Sainjon a aussi illustré le temps extrêmement long entre l’idée générale et la concrétisation : de très longues années, et pourquoi un organisme comme l’ONERA a tout son sens.

Enfin on pourra avoir retenu de cette présentation comment une idée qui part de la recherche militaire trouve des cas d’emploi dans la société civile pour revenir ensuite vers le militaire. Là aussi, les logiques binaires et « comptables » sont battues en brèche.




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